Style : Progressive
MetalCompagnie :
Drakkar Records
Quand le
guitariste de la formation Rage, Victor Smolski a sortit son album solo, je me
suis dit : « Pourquoi pas ? » Pourtant, j’aurais dû me douter de la tournure de
cet album avec l’Orchestre Symphonique de Russie car les seuls albums de Rage
que je n’ai pas aimés du tout sont ceux avec l’Orchestre Symphonique de Prague,
Lingua Mortis. Et je me suis risqué tout de même avec celui-ci. La narration de
cet album en anglais avec Mike Terrena, en Allemand avec Peavy Wagner et aussi,
en Russe, avec Victor Smolski peut sembler exotique mais avez-vous déjà suivi
une histoire dont vous comprenez seulement un paragraphe sur trois quand l’on
vous le fait lire ? L’album « The Heretic » m’aurait peut-être accroché
davantage si j’aurais compris l’histoire au complet. Malheureusement, je ne
comprends pas l’Allemand et encore moins le Russe. Je sais qu'il y a des
explications en dedans mais c'est leurs paroles qui m'intéressaient
davantage
Ceci dit, on a l’impression d’écouter la trame sonore d’un film tel que Dracula de Bram Stokers avec quelques passages de guitares électriques. Je suis en général un bon fan de guitare-héros mais Smolski n’est pas venu me chercher car, souvent, ses solos font trop contrastes avec l’ambiance recherchée sur l’hérésie. On dirait qu’il a enregistré ses solos qui ne riment à rien avec le sujet et qu’il a incorporé sur l’album par la suite. Je ne sais pas ce qu’il a voulu prouver ainsi. Voulait-il montrer au reste du monde qu’il est capable d’aller vite sur sa guitare ? Qu’il est capable d’expérimenter de nouveaux sons ? Pour moi, des solos sans musique de fond, je trouve cela dénué d’intérêt et un peu « show off ». Je l’avoue, j’ai eu beaucoup de difficulté à terminer l’écoute de cet album qui m’a endormi littéralement.
Désolé, je préfère de loin les chansons et solos que l’on retrouve sur les derniers albums de Rage. Smolski y fait du travail cent fois plus intéressant. À oublier…
Ceci dit, on a l’impression d’écouter la trame sonore d’un film tel que Dracula de Bram Stokers avec quelques passages de guitares électriques. Je suis en général un bon fan de guitare-héros mais Smolski n’est pas venu me chercher car, souvent, ses solos font trop contrastes avec l’ambiance recherchée sur l’hérésie. On dirait qu’il a enregistré ses solos qui ne riment à rien avec le sujet et qu’il a incorporé sur l’album par la suite. Je ne sais pas ce qu’il a voulu prouver ainsi. Voulait-il montrer au reste du monde qu’il est capable d’aller vite sur sa guitare ? Qu’il est capable d’expérimenter de nouveaux sons ? Pour moi, des solos sans musique de fond, je trouve cela dénué d’intérêt et un peu « show off ». Je l’avoue, j’ai eu beaucoup de difficulté à terminer l’écoute de cet album qui m’a endormi littéralement.
Désolé, je préfère de loin les chansons et solos que l’on retrouve sur les derniers albums de Rage. Smolski y fait du travail cent fois plus intéressant. À oublier…
Note : 7/10
Liste des pistes :
01. Baptism of Fire
02. The Testamony
03. Hex of the Six Strings
04. The Necromancer
05. Witches Hammer
06. The Inquisitors Dream
07. The Heretic
01. Baptism of Fire
02. The Testamony
03. Hex of the Six Strings
04. The Necromancer
05. Witches Hammer
06. The Inquisitors Dream
07. The Heretic
Critique originalement parue sur le site : http://www.musikuniverse.net/