Compagnie : G.U.N. Records
Ouf!
Quand on regarde à l’intérieur d’un livret de CD et que l’on découvre la face de
la seule et même personne sur toutes les pages, alors on se retrouve en présence
soit : 1- Un fondateur de groupe égocentrique ou 2- Un fondateur de groupe
malchanceux dont tous les musiciens ont quitté la formation et qu’il doit
engager des musiciens pigistes pour les remplacer. En voyant les noms des mêmes
collaborateurs que l’album précédent, excepté Jörg Michael qui n’est plus au
drum, alors on opte pour l’hypothèse un. Quand je parlais sur l’album « The Rivalry » que Ralf Kasparek commençait être à cours d’idées, et bien sur cet
album, cela est pire encore. Running Wild semble revenir en arrière, avant la
période « Pile of Skulls ». Du heavy métal traditionnel pas vraiment entraînant.
On a l’impression de réentendre des vieilles chansons sauf que l’on y a changé
les paroles !!?? C’est complètement ridicule. On prend vraiment les auditeurs
pour des imbéciles. Ceux qui possèdent beaucoup d’albums de la formation
Allemande comprendront de quoi je parle.
En ce qui concerne la production sonore, elle est inégale. Les guitares ne sonnent pas toujours de la même façon, il y a des problèmes de compresseurs par endroits. De plus, on dirait que l’on écoute un album divisé en deux. Les six premières chansons font style vieux heavy et les dernières plus métal mélodiques. C’est comme si on arrivait pas à se faire une idée sur la direction à prendre. La seule chanson potable de l’album est « Tsar » mais encore, ce sont les mêmes riffs de guitares que « Genesis » que vous avez entendu sur « Black Hand Inn » à quelques notes près. Quelle horreur! Non, décidément, je suis déçu de la tournure des événements. Espérons que le prochain album ne sera pas ainsi.
Note : 7.1/10
Liste des pistes :
En ce qui concerne la production sonore, elle est inégale. Les guitares ne sonnent pas toujours de la même façon, il y a des problèmes de compresseurs par endroits. De plus, on dirait que l’on écoute un album divisé en deux. Les six premières chansons font style vieux heavy et les dernières plus métal mélodiques. C’est comme si on arrivait pas à se faire une idée sur la direction à prendre. La seule chanson potable de l’album est « Tsar » mais encore, ce sont les mêmes riffs de guitares que « Genesis » que vous avez entendu sur « Black Hand Inn » à quelques notes près. Quelle horreur! Non, décidément, je suis déçu de la tournure des événements. Espérons que le prochain album ne sera pas ainsi.
Note : 7.1/10
Liste des pistes :
01. Fall of Dorkas
02. When Time Runs Out
03. TimeRiders
04. Into the Fire
05. Revolution (Beatles)
06. The Final Waltz
07. Tsar
08. The Hussar
09. The Guardian
10. Return of the Gods
11. Silent Killer
12. Victory